
Stéphane Israël a accueilli trois étudiants de HEC Paris dans ses locaux à Évry. Ils ont évoqué l’avenir d’Ariane 6 et la concurrence avec SpaceX, qui vient de décrocher une commande avec OneWeb à l’occasion de la crise russe.
Le constructeur automobile sortait péniblement d’une grave crise provoquée par la chute de Carlos Ghosn puis la pandémie de Covid-19. Très exposé à la Russie, il voit ses perspectives se détériorer à nouveau. A lire dans Alternatives économiques.
La série Netflix « Drive to survive » a ravivé la passion des fans pour le sport mécanique et élargi son audience. Les écuries sont devenues des franchises lucratives aux perspectives financières alléchantes. Lire l’article paru dans L’Express.
Elle stimule la mémoire, renforce l’attention et se révèle plus efficace que les analgésiques pour soulager certains patients. Mais la musique n’a pas fini de révéler tout son potentiel médical. Lire le dossier paru dans Usbek & Rica.
Les cryptomonnaies sont-elles vraiment des monnaies? Nuisent-elles à l’environnement? La blockchain sur laquelle elles reposent est-elle vraiment fiable à 100%? Lire mon dossier paru dans HEC Stories.
Trois jeunes diplômées ont créé une application dédiée aux femmes ménopausées. Leur société Omena est incubée chez Station F, le campus à startups parisien. Lire l’interview parue dans Causette.
Perenco, Trident Energy… Ces sociétés rachètent aux multinationales des champs pétroliers en phase de déclin dont elles prolongent la durée de vie. Une activité méconnue et lucrative. A lire dans L’Express.
Les établissements publics peinent à remplacer les départs des personnels de santé. Les conditions de travail se sont encore détériorées avec le Covid-19. Lire l’article paru dans Alternatives économiques.
Après avoir revendu sa start-up Artips, Coline Debayle s’est lancée dans le projet Time for the Planet. Objectif : lever 1 milliard d’euros pour financer des projets environnementaux. Portrait d’une battante qui n’a pas sa langue dans sa poche.
Après les films, la musique ou les salles de sport, la grande distribution succombe à son tour à la mode des abonnements. Objectif : fidéliser la clientèle et sécuriser son chiffre d’affaires. Lire l’article paru dans L’Express.