Rebaptisé Orano, le groupe attend beaucoup d’un contrat chinois. Deux actionnaires japonais doivent entrer au capital. Lire l’article paru dans « Le Figaro ».
Rebaptisé Orano, le groupe attend beaucoup d’un contrat chinois. Deux actionnaires japonais doivent entrer au capital. Lire l’article paru dans « Le Figaro ».