De plus en plus d’entreprises appartiennent à des professionnels de la finance qui gèrent des montants colossaux et qui revendent
généralement au bout de quelques mois. Les dirigeants sont ainsi amenés à lancer des licenciements et des réorganisations douloureuses dans le seul but de satisfaire les exigences de ces actionnaires à courte vue.
Lire le dossier paru dans le hors-série 2013 de « Social CE »